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Suspensions en tole d'acier, polie, patinée à la cire graphitée (douille laiton, passe-fil bois ou bakelite, cordon électrique gainé de tissu brun et tressé, rosace de plafond en bakelite) |
Et si on parlait de la deuxième idée? Celle-là est, certes, très classique mais terriblement efficace: la finition cirée graphitée.
On commence par le début. On termine le décapage, on polit à la brosse laiton (en douceur pour ne pas altérer la patine), on repeint l'intérieur en blanc haute température et on peut commencer le plus important des traitements: la cire graphitée.
Donc on reprend la méthode déjà abordée pour les Jielde avec la même recette de cire graphite: une couche de Rustol pure, une couche de Rustol graphité, plusieurs couches fines de cire graphitée maison, une dernière couche de cire de carnauba, et beaucoup d'huile de coude. Et voilà!
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Suspensions en tole d'acier, polie, patinée à la cire graphite |
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Suspensions en tole d'acier, polie, patinée à la cire graphite. détail de la douille et de son passe-fil |
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Suspensions en tole d'acier, polie, patinée à la cire graphite |
Bonjour Franck, je suis avec attention tous vos différents sujets concernant les objets en métal, car je viens de récupérer plusieurs objets (lampe, meuble à clapet...) et je souhaiterais les retaper selon votre méthode.
RépondreSupprimerJ'ai réalisé 2 cires comme vous l'indiquiez dans un sujet précédent (cire de carnauba et cire graphite), car j’ai essayé avec le cire Liberon mais le résultat est beaucoup trop noir, par contre ma cire graphite a beaucoup durcit en séchant, est ce normal ? quand je l’étale elle colore très peu le métal car très peu de matière reste sur le métal.
Avec quel outil déposez vous la cire graphite, je l’ai fait avec un chiffon mais le résultat ne me convient pas trop.
Merci d’avance pour vos réponses
Bonne continuation
Guillaume